Première mise sous tension
Méthode : Association Rpi et accessoires
Une fois la copie effectuée, la SD Card peut être insérée sur la carte Rpi et celle-ci mise sous tension.
Le plus simple pour cette première mise sous tension est de raccorder au préalable un clavier, une souris, un écran (liaison HDMI directe, ou adaptation HDMI → VGA, ou adaptation HDMI → DVI si nécessaire) et un cordon Ethernet. |  |
Conseil : Optimiser l'utilisation des ressources / Limiter les connexions filaires
Afin de limiter au maximum les interfaces connectées directement par fils sur la carte, il est possible d'utiliser un dongle :
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Attention : Comment s'identifier / se loguer ?
Par défaut le login est : pi
Le mot de passe (password) : raspberry (le mot de passe n'apparaît pas lors de la frappe)
Attention : Configurations clavier / langue / zone géographique depuis 2018
Les configurations sont demandées en mode graphique lors de la première mise sous tension :
Il ne faut donc recourir à la procédure qui suit qu'en cas de problème
Il est conseillé de conserver la mot de passe par défaut pour les TP au lycée |  |
Méthode : Utiliser le menu raspi-config
Les toutes premières configurations consistent à lancer le menu de configuration « sudo raspi-config » et à définir :
Le type de langage utilisé → français
le type de clavier → azerty
La zone géographique → France
En profiter pour effectuer l'extension du système de fichiers à toute la capacité mémoire de la SD Card.
(Illustration ci-dessous)
Depuis la version Raspbian Jessie le mode graphique est lancé automatiquement à la mise sous tension, et un menu permet d'effectuer les configurations graphiquement. (Illustration vidéo ci-dessous)
Remarque : Prise en compte des modifications
Toutes ces modifications seront prises en compte après un redémarrage de la carte (sudo reboot).
Après la mise sous-tension (et après s'être identifié) l'instruction « df » (disk free) affiche la valeur d'espace disque disponible dont l'utilisateur possède l'accès en lecture
